Jour de l'appel du pied: ce matin il me dit arrêtes de déconnecter reprends tes béquilles. Appel entendu, je ne résiste pas

. Le réparateur passe au bateau avec son patron. Ils ont une discussion sur la façon de fixer la base de l'enrouleur de génois. Il viendra lundi matin pour le poser. Simon revient demain avec Nicole.

Le matin est humide et brouillasseux, l'après midi partagé entre soleil, vent et brouillard. Mon téléphone n'ayant pas supporté l'humidité durant mon trek, je vais acheter un kit main libre car mon micro ne fonctionne plus en appel audio. A mon retour le vent a monté. Tout le monde s'affaire autour des pare-battages pour éviter les dégats. Ceux d'Aventurine sont à déplacer, je dois les réinstaller. Mon voisin me donne un coup de main, il a dû bouger les siens, je l'aide également. Le volcan a mis sa moumoute. Le sommet est enneigé.

C'est à nouveau la danse des bateaux, la nuit s'annonce agitée et bruyante.

Hier, j'ai oublié de mettre une photo sur le blog. Ce sont des ouvriers qui pavent à l'ancienne les quais du port de Pim. C'est un travail long, ils taillent certains pavés sur place, à l'ancienne. Le résultat est splendide. Garder cette tradition du pavé donne au paysage un cachet et une âme authentique