Après cette soirée délirante de stress et de galères, j'ai eu du mal à dormir en raison de la chaleur et d'autant que nous avons oublié la vhf portable sur le banc du cockpit en face du hublot de la cabine et qu'il y a eu des appels plusieures fois dans la nuit. Ce matin, j'étais réveillé à 6 h après 4h de sommeil. Une forte envie de café m'a sorti de ma cabine. Je me suis fait mon petit déjeuner, Simon m'a rejoint en cours. A peine finit de petit-déjeuner son 'pus appelle depuis la digues ou est fixé notre ponton. C'est la capitainerie. Il me demande depuis quand u'ous sommes là. Je lui explique notre galère d'hier. Il s'inquiète de savoir si nous pourrons bouger. Simon le rassure, il nous donne tendez vous à la capitainerie pour la clearance et nous demande de quitter ce ponton et d'aller nous amarrer à la pompe à carburant 20 m plus loin.

Les papiers remplis, nous lui demandons où trouver un soudeur inox. Il y a qu'une seule entreprise à la marina qui fait tout et qui sera ouverte demain matin, on leur demandera également pour le pilote automatique. Nous allons jeter un coup d'oeil aux sanitaires, nous avions vu des commentaires peu flatteurs sur un logiciel de navigation. Nous les avons trouvées très propres et en état si ce est que les portes ne ferment plus à clef dans les douches et qu'une parterre est prévue à l'intérieure pour accrocher un protégé pudeur éventuel pour les pudiques de mon genre. Sinon c'est nickel, rien ne manque.

De retour au bateau nous rejoignons en douceur car il n'y a plus de vent la place qui nous est allouée.

Au moment de brancher le bateau sur l'électricité tout disjoncte. La recherche de la panne va nous prendre toute la matinée en vain. Ke vais prendre une douche pour me laver et me détendre.

J'en ai mare, j'ai faim je propose à Simon d'aller au restaurant il est 13H 30. Contrarié il ne peut pas aller manger. Je pars donc seul à la recherche d'un restaurant. Je longe une digue qui me conduit à l'entrée de la vielle ville. Je trouve rapidement un petit restaurant qui me tape dans l'oeil " le monte y mar". Je demande si je peux manger, le serveur me désigne une table.A l'intérieur c'est frais alors que dehors on ne tient pas longtemps au soleil. Le serveur arrivé rapidement et me propose un plat dont je ne comprends quasiment rien tellement le débit de parole des Espagnols est rapide. J'acquiesce à ce qu'il me propose, c'est salade de tomates bien assaisonnée et sole poêlée.Lescprodiits sont frais et bien cuisines.Pour me rafraîchir, je m'enquille deux demi bien frais. Simon m'appelle, il a trouvé

la panne et il vient me rejoindre.

A la fin du repas pas de dessert maison car avec la chaleur ça s'abîme trop vite. Café addition pour 29€, le prix d'un repas chez nous. Après le repas je vais faire un petit tour à côté du restaurant pendant que Simon règle son repas et je fais quelques photos.J'aime trop ces lampadaires style ancien que l'on trouve souvent dans les villes espagnoles.

Retour à la marina pour un après-midi de bricolage. Simon finit de réparer l'électricité et je demonte tout ce que nous avions installé dessus, antenne satellitaire, station météo, panneau solaire, éolienne et drapeau français. J'enlève tous les cordages de consolidation utiles en mer mais superflu ici et dégagé de toute contrainte les fils de branchement.Si un soudeur vient rapidement en 10 mn le portique est sur le ponton où il pourra faire son oeuvre.

Par ailleurs, j'ai profité du soleil pour faire sécher le génois sur le ponton. J'ai fais le plein d'eau des réservoirs du bateau. Simon vient m'aider après une pause, nous finissons il est 20h30. Repas de restesdehors pour profiter de la fraîcheur relative apportée par le vent du large.. Cadix, endormie aux heures chaude de la journée se reveille à nouveau le soir à la fraîche.Je vais aller me coucher bpzs trop tard pour rattraper ma nuit manquée.